L’Oxalys**
Jean Sulpice et sa deuxième étoile
© J.Clatot OT Val Thorens
|  | Jean Sulpice à Val Thorens : Une deuxième étoile sur le toit de l’Europe
Chef doublement étoilé, Jean Sulpice est au cœur de l'actualité avec la sortie de son livre “Cuisine en Famille“. 55 recettes accessibles à tous, pour donner des airs de gastronomie à votre table. Idéal pour impressionner vos futurs invités à “Un Diner Presque Parfait“... Célèbre émission culinaire sur M6, pour laquelle, le Chef de L'Oxalys était Jury à la rentrée. En mars dernier, à 31 ans, Jean Sulpice, Chef virtuose, a décroché sa seconde étoile au célèbre Guide Michelin. Il est le plus jeune chef de France récompensé par 2 étoiles ! Un dimanche par mois, le chef étoilé Jean Sulpice invite les vacanciers à passer en coulisses et partage ses secrets le temps d’un cours de cuisine… |
Le 1947** du Cheval Blanc
Yannick Alleno à Courchevel : L’imaginaire gourmand
Yannick Alleno (Chef 3 étoiles, élu meilleur Chef français par ses pairs en 2008) allie cuisine d’exception et design culinaire. Une alliance réussie qui confère au restaurant Le1947 un “imaginaire gourmand“ bien à lui.
L’Azimut*
François Moureaux à Le Praz : Les produits du terroir s’invitent à table
Une ambiance chaleureuse alliée à une cuisine gastronomique à la fois simple et raffinée ont fait le succès de l’Azimut, la nouvelle table du Chef François Moureaux ouverte en 2007.
Il Vino*
Enrico Bernardo à Courchevel : La dolce vita
Décor épuré, table de haut vol et une carte des vins évidemment exceptionnelle, Il Vino n’aura mis que deux saisons à s’imposer comme une grande adresse de la gastronomie dans les 3 Vallées.
Les Airelles**
Pierre Gagnaire à Courchevel : Hommage à Sissi l’impératrice
Le Chef Pierre Gagnaire, triple étoilé et grand explorateur de saveurs, ne pouvait qu’être attiré par l’aventure de créer un refuge culinaire et intimiste à la hauteur du Palace Les Airelles. Un défi relevé de main de maître et déjà récompensé de deux macarons.
La Table du Kilimandjaro*
Nicolas Sale
© Thierry Malty
|  | Nicolas Sale à Courchevel : Sous l’influence du Sud
Nicolas Sale est le nouveau chef d’orchestre de la Table du Kilimandjaro. Jouant au fil des ans sur les pianos de maisons prestigieuses, son parcours est à la hauteur de La Table du Kilimandjaro : le Lucas Carton, l’artiste Pierre Gagnaire, le V de Philippe Legendre puis le Meurice, il prend son envol en 2003 et devient chef de cuisine de l’Hôtel Hyatt Paris-Madeleine. En 2006, il prend la direction du sud de la France et obtient son premier macaron au Guide Michelin pour sa cuisine au Monte Cristo-Hôtel du Castellet (83), qui devient la même année Relais et Châteaux. L’histoire se répète au Cap d’Antibes Beach Hôtel. Arrivé en 2009, il insuffle un nouvel élan au Restaurant Les Pêcheurs et maintient le macaron dès mars 2010. Une cuisine à son image : rigoureuse, sincère et respectueuse des produits et des saisons Ses touches créatives, sans excès, sont les points d’orgue d’une cuisine des temps modernes conservant un lien profond avec le passé. Accompagné de son second, de son chef pâtissier et de ses collaborateurs, Nicolas Sale poursuit son ascension, entouré d’une équipe soudée et enthousiaste. Artiste passionné, il a su garder une définition précise de la cuisine : de l’amour avant tout, du partage et beaucoup de plaisir. |
Le Chabichou**
Michel Rochedy à Courchevel : La continuité dans l’excellence
En franchissant la porte du Chabichou, apprêtez-vous à vivre une expérience unique. Laissez votre matériel au skiman à l’accueil, posez les chaussures de ski pour enfiler de douillets chaussons qui n’attendent que vous, pénétrez dans ce temple de la gastronomie de montagne…
Le Farçon*
Julien Machet
|  | Julien Machet à La Tania : La formule gagnante
Pour faire face aux exigences des skieurs, des vrais, ceux qui veulent autant avaler du dénivelé que déguster une pause gastronomique sur les pistes de La Tania, Julien Machet, le Chef passionné de cet établissement chaleureux a trouvé LA recette imparable. « Un “gros“ plat du jour, style pot au feu, blanquette de veau, poisson poché à la sauce hollandaise, autant de plats gourmands et généreux, des vieilles recettes du terroir revisitées, agrémentées de truffes, foie gras et autres plaisirs gourmands». De quoi refaire le plein d’énergie avant de repartir skier- sans-trop- passer de temps à table. Tous les samedis soir, le Farçon invite gratuitement les enfants (de moins de 10 ans) à venir découvrir de nouvelles saveurs. Loin du traditionnel steak haché-frites, les enfants aussi goûteront aux joies de la cuisine gastronomique. |
La Bouitte**
René et Maxime Meilleur
© Eliophot light
|  | René et Maxime Meilleur, Hameau de St Marcel à St-Martin-de-Belleville : Les surprises des chefs
Impossible pour le duo père et fils de s’endormir sur ses lauriers. Entre le bouillonnant Maxime Meilleur, le fils, et René, son perpétuel insatisfait de père, les idées fusent. En débarquant à la table de La Bouitte cet hiver, attendez-vous à être plus que jamais surpris. Finis les plats à la carte, place aux menus à … Surprises ! 3, 4 ou 5, vous choisissez désormais le nombre de plats selon votre appétit, et pour ce que vous aurez dans votre assiette : c’est la surprise du chef dans toute sa splendeur. C’est la fraîcheur absolue qui dicte sa loi, les plats vous sont proposés en fonction des arrivages du matin. René et Maxime ont a cœur de partager leur passion et proposent des cours de cuisine à destination des fins gourmets. Cours sur réservation uniquement. |
Le Bateau Ivre**
Jean-Pierre Jacob à Courchevel : Quatre étoiles à lui tout seul
Natif du Bourget-du-Lac, Jean Pierre Jacob est un homme de défis. Et en dirigeant de main de maître ses deux tables tout en faisant la navette entre le Lac du Bourget l’été et Courchevel l’hiver, le challenge était de taille. Jean-Pierre l’a relevé avec les honneurs puisque chacun de ses établissements s’est vu distingué par deux macarons au Guide Michelin, faisant de lui le chef le plus étoilé de Savoie. Défis certes, mais toujours dans le respect de la tradition. Si le Bateau Ivre existe en deux versions, c’est aussi pour coller à la saisonnalité des produits du terroir. S’il y a une chose pour laquelle le grand chef ne changerait pour rien au monde de région pour exercer son talent, c’est sans doute pour la variété et plus que tout, la qualité des produits que l’on y trouve.
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