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    • Sergio Palumbo | dernière mise à jour : 09/03/2010
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    Gad Elmaleh

     

    Son plus grand rôle au cinéma ?

    Né à Casablanca (Maroc), Gad Elmaleh affirme dès son plus jeune âge sa volonté de réussir une carrière artistique. C'est donc tout naturellement qu'il quitte son pays natal, pour Montréal puis Paris, où il suit une formation artistique au Cours Florent pendant deux ans et demi.
    Avec le film La Rafle, il joue là son premier grand rôle. Interview...

    Gad Elmaleh
    Gad Elmaleh - © Bruno Calvo - Gaumont
     
    Gad Elmaleh, Rebecca Marder et Raphaëlle Agogué
    Gad Elmaleh, Rebecca Marder et Raphaëlle Agogué - © Bruno Calvo - Gaumont
     
    Avez-vous été surpris lorsque Rose Bosch et Ilan Goldman vous ont proposé de jouer Schmuel Weismann dans La Rafle ?
    Gad Elmaleh : Je savais que Rose travaillait sur La Rafle depuis de nombreux mois puisque, à la même époque, je tournais Coco qu’Ilan produisait. Nous nous voyions donc souvent et j’entendais parler régulièrement des recherches que faisait Rose. Quand j’allais chez eux, je la voyais sortir de son bureau, complètement immergée dans l’histoire de la rafle. En fait, sans tout à fait me proposer le rôle, Ilan m’a donné le scénario à lire. Je l’ai lu d’une traite. J’ai pleuré en le lisant et j’ai envie d’être dans ce film. Bien sûr, avant d’accepter le rôle, j’avais une petite inquiétude. L’inquiétude de ceux qui sont à l’aise dans la comédie et s’apprêtent à aborder le registre du drame. J’ai demandé à Rose et Ilan, et ce n’était pas de la fausse humilité, s’ils pensaient vraiment que moi qui me revendique comme un acteur comique, je pouvais faire un rôle aussi dramatique. Rose m’a dit que ce qu’elle avait vu dans ma vie avec mon fils, ce qu’elle avait vu dans ma réflexion sur l’identité, l’avait émue et lui avait fait penser qu’elle avait besoin de moi pour ce rôle. C’étaient de vrais arguments qui non seulement m’ont touché mais ont balayé mes appréhensions. Et j’ai accepté d’être le père de cette famille. Au-delà du rôle, au-delà du film même, j’ai tout de suite été très intéressé par le projet humain, par ces
    questions qu’il soulevait sur tous les plans : social, philosophique, religieux, moral, historique, politique… Moi-même, je me suis immédiatement posé des tas de questions et je n’ai pas honte de dire que j’ai appris beaucoup de choses. Ce n’est pas parce qu’on est juif qu’on sait tout sur la Shoah. J’avais forcément entendu parler de la rafle du Vel’ d’Hiv’ avant de tourner le film. Je savais que c’était un épisode tragique pas seulement de l’histoire des Juifs mais aussi de l’histoire de France, mais je n’en connaissais pas tous les détails ni, forcément, tout le contexte. Ce qui m’a intéressé aussi en tant que séfarade, c’est que j’ai découvert qu’il y avait eu une Shoah séfarade : les allemands sont allés jusque dans le désert de Lybie chercher des juifs ! Dément ! J’ai eu un sentiment étrange : je me suis senti à la fois proche de cette identité juive et très fier d’être marocain parce que le Maroc, pendant la Seconde Guerre Mondiale, a protégé les juifs. S’il ne l’avait pas fait, mes parents ne seraient plus là et moi non plus…
     
    Une fois l’appréhension dépassée, avez-vous travaillé ce personnage différemment de d’habitude ?
    Gad Elmaleh : Sans réduire ou minimiser le travail d’acteur, une fois qu’on a enfilé le costume, trouvé ce look-là, et qu’on se retrouve dans le camp avec des figurants portant ces vêtements- là, dans ces baraquements, il y a juste à être devant la caméra… C’est déjà bouleversant. Il faut juste éviter le piège de jouer le résultat, de jouer l’émotion nous-mêmes. C’est pour ça que j’ai essayé d’aborder le personnage de manière presque naïve : "Mais de quoi parlez-vous ? Vous rêvez ! Jamais les allemands ne vont faire ça !". Il y a une réplique qui le définit bien : "Je n’ai jamais vu autant de juifs rassemblés, comment veux-tu qu’ils nous fassent du mal ? C’est trop de boulot !".

    « On oublie trop souvent que
    les juifs de France
    sont des enfants d’immigrés
    ,
    arrivés ici avec rien
    et qui ont fait de ce pays le leur »

    Comment voyez-vous Schmuel Weismann justement ?
    Gad Elmaleh : Ce n’est pas un utopiste mais c’est un optimiste. Un réel optimiste qui a confiance dans la France. Et qui a aussi l’espoir de la dernière chance. A un moment donné, il ne reste en effet que l’espoir. Que peut-on faire d’autre quand on a des fusils braqués sur soi, à part se dire : "On va s’en sortir !". D’ailleurs, moi-même, j’ai toujours pensé que si j’étais pris dans une catastrophe, je serai survivant !
     
    Est-ce en cela qu’il est proche de vous ?
    Gad Elmaleh : Oui, j’ai cet optimisme. D’ailleurs, même aujourd’hui, je n’ai pas assimilé l’idée, ou je l’ai refusé ! Que mon personnage n’ai pas pu s’en sortir et qu’il soit mort comme tous les autres qui sont partis avec lui… Son attachement à la famille aussi est proche de moi. Même si on n’a pas besoin d’être père pour se sentir concerné par le malheur qui est infligé aux enfants, tout de suite j’ai pensé à mon fils quand j’ai vu les gamins… Son attachement à la France aussi est proche du mien. On oublie trop souvent que les juifs de France sont des enfants d’immigrés, arrivés ici avec rien et qui ont fait de ce pays le leur. Il a ce côté "Je viens d’ailleurs" dans lequel je me reconnais bien. Je viens tout le temps d’ailleurs. Partout, je suis d’ailleurs.
     
    Quel souvenir gardez-vous de votre rencontre avec Joseph Weismann ?
    Gad Elmaleh : Forcément émouvant. Tout d’un coup, vous êtes face à la réalité, à la vérité, c’est d’une telle force… C’est même impressionnant. Tout ce qu’on va pouvoir faire sera tellement inférieur à ce qu’a été la réalité... J’ai repensé aux images de La Marche du Siècle que Rose m’avait montrées, je me souvenais de l’émotion qu’il dégageait dans ce témoignage… Et puis, je joue quand même le rôle de son père ! On a plaisanté avec ça. Il m’appelait “Aba”, “papa” en hébreu… C’est à la fois touchant et drôle. C’est un homme qui est plein d’humour aussi.
     
    Et de jouer un ashkénaze, vous qui êtes séfarade, était-ce un défi supplémentaire ?
    Gad Elmaleh : J’avais bien quelques petites interrogations, mais franchement jouer un ashkénaze ou un musulman ou un slovaque épileptique, ce n’est pas ça qui me faisait peur. C’était davantage le registre du drame qui m’impressionnait. Mais Rose m’a très bien dirigé, sans jamais me laisser aller dans ce que je savais faire. J’ai d’ailleurs compris sur ce film qu’il fallait s’abandonner complètement et avoir une grande confiance en la personne qui vous dirige : c’est finalement le meilleur moyen pour inventer des choses, pour laisser des choses vous échapper. Moi qui me connais bien, qui connais bien mon travail, j’ai découvert à la vision du film des plans de moi que je ne connaissais pas, que je n’avais pas anticipés, qui m’avaient échappés, et que Rose avait su non seulement capter mais susciter… Je suis surpris par le travail qu’elle a fait, par le travail qu’on a fait ensemble, comment elle a été chercher l’émotion…
     
    Comment avez-vous travaillé avec elle ?
    Gad Elmaleh : Elle est tellement imprégnée de son sujet, de la vérité et de la force de ce sujet, qu’elle n’avait pas besoin d’entrer dans de grandes explications de direction d’acteur, il lui suffisait de nous donner de légères indications afin de nous faire faire des choses qui collaient au plus près de la réalité. Elle ne disait pas : "Je veux que tu le fasses plus comme ça » mais : "Il était plutôt comme ça, Schmuel". Elle s’est tellement investie dans ses recherches qu’elle a des idées très précises sur ces faits qui ont existé, sur ces personnages. C’était d’autant plus facile d’être en confiance et de s’abandonner.
     
    Qu’est-ce qui vous frappe chez elle ?
    Gad Elmaleh : C’est quelqu’un qui est très émotif et qui est, en même temps, une force de la nature. C’est une guerrière. Ce qui me rassure en général chez les artistes, ce n’est pas de voir que ce sont des guerriers, mais que derrière cet aspect, ce sont des gens fragiles. Elle, c’est exactement ça. J’étais frappé, et ému, de la voir parfois regarder des scènes avec les larmes aux yeux et, dans la seconde d’après, de l’entendre dire : "Allez, OK, c’est bon, on y va, on passe à la suivante !". Avec une grande pudeur, elle redressait tout le plateau.
     
    Y a-t-il une scène que vous, vous appréhendiez particulièrement ?

    Gad Elmaleh : La scène de la séparation avec les enfants. Rien que d’en parler... Je repense à ce moment à Budapest. Il y a des caméras, il y a des techniciens, c’est un plateau de cinéma mais on est quand même en train de tourner quelque chose qui a existé. On fait une fiction mais on est en train de reproduire quelque chose qui s’est réellement passé. C’est troublant, déchirant… En même temps, j’avais besoin de mon énergie pour jouer cette tristesse. On ne peut pas se contenter d’être là et d’avoir l’air triste, il faut mettre une vraie énergie pour faire le père déchiré, il faut y aller, il faut donner, il faut crier… On doit sortir des choses du plus profond de soi… Les scènes qu’on a avec Jean Reno, à ce moment-là, c’était dur. On était très émus, on ne se parlait pas… On ne se parlait pas ! En même temps, il ne faut pas croire, on a beaucoup ri sur ce tournage. On a tourné en Hongrie et j’ai parlé un faux hongrois pendant trois semaines ! Avec Jean, on avait besoin de dire une bêtise par plan, à la fin des prises, histoire de ne pas se laisser plomber. Sans parler des vannes et des jeux de mots douteux que je n’oserais pas redire ici ! C’était notre soupape de sécurité. On avait besoin de ça.

    Jean Reno et Gad Elmaleh

    Jean Reno et Gad Elmaleh - © Bruno Calvo - Gaumont

    Vous n’aviez jamais tourné avec Jean Reno…
    Gad Elmaleh : Non même si on en avait envie depuis longtemps. J’ai été heureux de pouvoir le faire parce que j’ai une grande affection pour lui. On vient de Casablanca tous les deux mais on n’est pas lié que par les origines. Comme il dit, "ce sont des choses qui ne se disent pas et que nous-mêmes, on ne se dit pas, qui nous lient". J’aime bien cette idée que c’est ce qu’on ne se dit pas qui nous lie très fort. Je pense comprendre exactement ce qu’il dit quand il dit ça. J’étais très heureux de tourner avec lui des scènes d’émotion. Il est formidable. Le regard qu’ils échangent avec Mélanie Laurent au moment du départ, ça vous donne des frissons... L’actrice qui joue ma femme, Raphaëlle Agogué, est formidable aussi. C’est une vraie révélation. Il faudra lui donner un prix ! Elle a fait un travail incroyable, on dirait qu’elle a eu cet accent toute sa vie. Ce n’est pas seulement qu’elle est crédible, c’est la moindre des choses, la crédibilité, pour un acteur, c’est ce qu’elle apporte en plus comme grâce, comme présence affectueuse, comme pouvoir d’émotion… Et Hugo, celui qui joue mon fils, il est extraordinaire de vérité, de naturel, de simplicité. Il est tellement tendre. Et tellement drôle ! Il m’a fait pleurer dans le film mais, sur le plateau, il m’a fait beaucoup rire. Il a une nature comique. On s’amusait énormément tous les deux. Y compris à faire des grimaces, ce qui ne l’empêchait pas au moment de la prise d’être hyper-concentré et bouleversant. Il est joyeux, il est lumineux…
     
    Mélanie Laurent
    Mélanie Laurent - © Bruno Calvo - Gaumont
     
    Et Mélanie Laurent, vous la connaissiez ?
    Gad Elmaleh : Un peu. Je n’ai pas beaucoup de scènes avec elle, et pareil, je la trouve lumineuse. Elle apporte tellement d’espoir, elle apporte tellement de force… C’est comme une fenêtre par où passe la lumière. Il y avait donc aussi des gens comme ça qui étaient là… Quand elle entre dans le Vel’ d’Hiv’, la scène est d’ailleurs impressionnante, elle réalise immédiatement les dégâts, elle n’hésite pas une seconde à s’investir… Ce n’est
    pas un film manichéen, et c’est ça qui est beau aussi… La concierge qui les prévient, la voisine qui veut sauver le petit Nono, les pompiers qui donnent à boire et prennent les messages… Il y a une vraie vision de ceux qui ont aidé, de ceux qui ont refusé de collaborer…
     
    En quoi, selon vous, est-ce important de faire un film comme La Rafle aujourd’hui ?
    Gad Elmaleh : Pour toutes les questions qu’il soulève sous tous les aspects. Aussi bien sur Dieu, ou sur l’absence de Dieu, que sur le rôle des autorités et des médias, que sur notre propre comportement face à des situations d’injustice, que sur la nécessaire organisation de la protection de l’enfance… Tout d’un coup, quand on voit le film, le débat sur l’identité nationale paraît tellement dérisoire… Il y a beaucoup de leçons à en tirer.
     
    Si vous ne deviez garder qu’un moment, qu’une image de toute l’aventure…

    Gad Elmaleh : Je pense que c’est la nuit de tournage avec Hugo dans le camp, lorsqu’il n’arrive pas à dormir et qu’on regarde par la fenêtre… Le SS qui nous surveillait était hors champ mais pensait qu’il était dans le plan et, alors que la caméra était sur nous, il faisait la ronde avec son chien… J’ai été complètement saisi par la vérité de ce moment. J’étais dedans. C’était terrifiant…


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