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    Chambéry
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    • Sergio Palumbo | dernière mise à jour : 15/04/2011
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    DossierNouveau bassin de biofiltration à Chambéry

    Travaux de modernisation de l’usine

    de dépollution des eaux usées 2009-2013

    La première pierre du chantier de modernisation de l'usine a été posée le vendredi 12 février 2
    La première pierre du chantier de modernisation de l'usine a été posée
    le vendredi 12 février 2010 - © Chambéry Métropole
     
    Inauguration samedi matin 9 avril 2011
    Inauguration samedi 9 avril 2011- © Chambéry Métropole
     
    Samedi matin 9 avril 2011, a eu lieu l'inauguration du nouveau bâtiment de biofiltration réalisé dans le cadre de la modernisation de l'usine de dépollution des eaux usées de Chambéry métropole, en présence notamment de Christophe Mirmand, préfet de la Savoie, Louis Besson, président de Chambéry métropole, Jean-Maurice Venturini, vice-président chargé de l'eau et de l'assainissement de Chambéry métropole, Bernadette Laclais, maire de Chambéry, Michel Dantin, président du comité de bassin Rhône-Méditerranée et Corse et de Martin Guespereau, directeur de l'agence de l'eau Rhône-Méditerranée et Corse.
     
    Les eaux usées de 95% des foyers de l'agglomération chambérienne arrivent à l'usine d'épuration de Chambéry métropole située à Chambéry (dans le parc d’activités de Bissy) qui traite également les eaux industrielles et une partie des eaux de pluie.
    Construite entre 1964 et 1977, puis modernisée en partie en 2001, cette usine, la plus importante de Savoie, est de nouveau en travaux pour augmenter ses capacités et assurer une meilleure fiabilité de traitement des eaux usées, notamment d’origine industrielle. Cet important chantier, prévu sur 4 ans et d’un montant de 45 millions d’€, a commencé début 2009, juste après le chantier de modernisation de l’usine d’incinération installée sur le même site (qui s'est déroulé de 2005 à 2008).
     
    Ces travaux ont pour objectifs :
    - d’augmenter les capacités de traitement des eaux usées pour les besoins futurs et d’assurer une meilleure gestion des arrivées d’eau exceptionnelles. L’usine est aujourd’hui en surcharge, elle peut traiter les déchets organiques de 220.000 "équivalents-habitants" (EH), il s'agit de porter cette capacité à 260.000 EH,
    - de mieux sécuriser l'équipement en cas de pannes,
    - et d’améliorer, grâce à ces évolutions, la qualité des eaux rejetées dans le milieu naturel (Rhône, cours d’eau la Leysse, lac du Bourget) et de respecter les normes européennes.
     

    Les études d'impact effectuées régulièrement dans le Rhône, où arrivent les eaux épurées, sont globalement bonnes et respectent déjà les normes en vigueur. Mais le dimensionnement de l'usine actuelle ne permet pas de traiter correctement certains pics de pollution, très ponctuels, liées à des afflux d'eaux usées d'origine industrielle ou à des pluies importantes. La part d’effluents industriels agroalimentaires conduit au développement chronique de bactéries filamenteuses qui perturbent le fonctionnement dans les bassins d’aération. De plus, en période de pluie intense, une partie des eaux issues du réseau unitaire de Chambéry (qui collecte eaux usées et eaux pluviales dans la même canalisation) est rejetée directement dans la Leysse (affluent du lac du Bourget), faute de pouvoir être acceptée par l'usine d'épuration. Une première réponse a été apportée en 2001 avec la mise en place d'une unité de prétraitement et de traitement primaire lamellaire permettant de mieux faire face aux à-coups de débit par temps sec et temps de pluie. Cette installation assure le prétraitement des eaux usées à leur arrivée à l’usine en enlevant les matières solides, les sables et les graisses et un premier traitement par décantation lamellaire (avec ou sans ajout de réactifs physico-chimiques).

    Vue aérienne de l’usine avant les travaux. Tous les bassins à l’air libre seront démolis

    Vue aérienne de l’usine avant les travaux. Tous les bassins à l’air libre seront démolis - © Gilles Garofolin - Ville de Chambéry

    La mise en eau du nouveau bâtiment de biofiltration, une étape majeure des travaux de modernisation
    Deuxième étape, en 2009-2010, la reconstruction des équipements de traitement biologique qui sont beaucoup plus performants et permettent de traiter près de deux fois plus de débit. La construction du bâtiment de biofiltration, commencé à l’été 2009, s'est achevée fin 2010 début 2011 avec sa mise en eau. Après quelques semaines de mise en route (« ensemencement ») le bassin de biofiltration a été mise en service. Il s’agit d’une étape clé de la modernisation qui permet une amélioration immédiate de la qualité des eaux épurées rejetées dans le milieu naturel.
     
    Les futures capacités de traitement de l’usine (débit horaire de pointe) :
    - 8.000 m3/h pour le traitement primaire, permettant les débits excédentaires de temps de pluie
    - 3.500 m3/h pour le traitement biologique
    A noter, les quantités d’eaux épurées rejetées dans le Rhône ne changent pas : elles restent limitées à 5.760m3/h
     
    Un projet exemplaire en terme de développement durable
    Ces travaux permettront également une meilleure intégration des équipements intercommunaux sur le site le long des rues Aristide Bergès et Chantabord dans le parc d’activités de Bissy à Chambéry (usines d’incinération des ordures ménagères et d’épuration des eaux usées, déchetterie) et une diminution des nuisances olfactives. La mise en place d’un parcours pédagogique complet permettra de mieux faire connaître cet équipement, ainsi que les enjeux de protection du milieu naturel et de dépollution des eaux. Par ailleurs, Chambéry métropole a souhaité bâtir une nouvelle usine exemplaire du point de vue de la valorisation des énergies et des sous-produits issus du processus d’épuration :
    - l’énergie : production d’énergie à partir du biogaz issu de la digestion des boues (méthanisation), de panneaux photovoltaïques, du turbinage de l’eau épurée,…
    - les eaux épurées : chauffage et rafraîchissement des locaux en récupérant la chaleur des eaux épurées

    - les sous-produits : lavage du sable (issu des réseaux et de l’usine) pour le réutiliser, conditionnement des graisses pour en faire du combustible, déshydratation des boues pour des filières de compostage, production d’eau industrielle de qualité sanitaire.

    La construction du bâtiment de biofiltration  avril 2010
    La construction du bâtiment de biofiltration : avril 2010
    © Rifflard Balloïde - PhotoKoala pour Chambéry Métropole

    Le bâtiment en janvier 2011

    Le bâtiment en janvier 2011

    © Rifflard Balloïde - PhotoKoala pour Chambéry Métropole

    Un chantier complexe : reconstruire sur l’existant tout en maintenant en service l’usine actuelle
    La nécessité de maintenir le traitement des eaux durant toute la durée des travaux et de construire sur les équipements existants, dans un espace contraint, fait de cette modernisation un chantier très complexe. Les nouveaux équipements doivent notamment être construits avant la démolition des anciens pour assurer une continuité de service. Ces aménagements ont également des implications pour d’autres services de la communauté d’agglomération. Le service gestion des déchets (bâtiment administratif) a déménagé au 130 avenue des Follaz à Chambéry. La déchetterie et le site des chantiers valoristes, qui ont prévu de s’agrandir, seront également déplacés en face, rue Pré-Demaison, sur le site rendu disponible en 2011 après la déconstruction des bassins d’aération. Par ailleurs, une partie du terrain libéré est revendue à la blanchisserie inter hospitalière qui prévoit de s’agrandir.
     

    Après enquête publique réalisée en juin - juillet 2008, et instruction du dossier par les services de Police de l’Eau du Rhône et de Savoie, l’arrêté interpréfectoral du 12 juin 2009 fixe les niveaux de rejets (avec un nombre maximum d’échantillons non conformes fixé à 19) suivants :

     MES : matières en suspensionConcentration maxi 35 mg/l ou rendement mini 90%
    DBO5 : Demande Biologique en Oxygène 5jConcentration maxi 25 mg/l ou rendement mini 80%
    DCO : Demande Chimique en OxygèneConcentration maxi 125 mg/l ou rendement mini 75%
    Avec la mise en eau du bâtiment de biofiltration début 2011, la nouvelle usine permet de rejeter en permanence des eaux encore plus propres au Rhône avec un niveau de rejet inférieur aux maximum autorisés. Ce fleuve a une forte capacité "auto-épuratrice" contrairement au lac du Bourget (à gauche) qui fonctionne en milieu clos. Des contrôles et analyses sont réalisés très régulièrement (13 bilans par an) à la sortie de la galerie de rejet dans le Rhône.
     
    La construction du bâtiment de biofiltration, équipement majeur de la future usine
    La biofiltration grâce à la pouzzolane
    Situé à la suite du bâtiment de traitement primaire lamellaire construit en 2001, le nouvel équipement de biofiltration permet de dépolluer les eaux usées par la double action mécanique (filtres) et biologique (niche bactériologique) de la pouzzolane (roche volcanique). Les eaux usées sont réparties dans 7 biofiltres (un 8ème biofiltre est prévu pour faire face à une augmentation des quantités d’eaux usées dans les prochaines décennies). La pouzzolane est nettoyée quotidiennement. La mise en eau de cet équipement, fin 2010, est un temps fort du chantier. Il remplace les bassins d’aération à boue activée et les bassins de clarification (à ciel ouvert) qui seront démolis à partir de 2011.
     
    L’étape du terrassement et du renforcement

    L’usine étant située à proximité du cours d’eau la Leysse et au dessus de la nappe phréatique du puits des Iles (l’un des 4 grands puits d’eau potable de l’agglomération), il a fallu trouver des solutions techniques pour étanchéifier le site et éviter tout risque de pollution de la nappe. Un rideau de palplanche (enclos étanche) et 4 puits d’environ 5 mètres de profondeur ont notamment été installés aux angles du futur bâtiment, qui à terme sera plus bas que le niveau de la Leysse. Les eaux de rabattement puisées par ces puits ont été décantées dans un bassin. La fraction liquide a été ensuite renvoyée à la Leysse. Le sol a été renforcé grâce à l’installation d’environ 400 inclusions rigides en béton (sorte de pieux) d’environ 15 mètres de long enfoncées dans le sol.

    « La nouvelle usine sera pionnière en France du point de vue de la valorisation de l’énergie et des sous-produits issus du processus d’épuration »

    De nouveaux équipements pour le traitement des boues et l’accueil des matières extérieures
    Une reconfiguration complète de la filière boue
    Grâce à ses performances, la nouvelle usine produira plus de boues. Les équipements actuels ne seront plus en capacité de les traiter. Il est donc prévu de reconfigurer l’ensemble de la filière de traitement des boues. Les nouveaux équipements de traitement des boues (digesteurs, centrifugeurs…) seront construits à partir de 2011 dans des bâtiments fermés pour limiter toutes les nuisances olfactives. A l’issue du traitement des eaux, les boues sont d’abord épaissies (égouttées), ensuite digérées (étape qui permet de produire du méthane), puis déshydratées et incinérées à l’usine d’incinération (située à côté). Nouveautés de cette modernisation :
    - la méthanisation (biogaz) dégagée par le maintien des boues à une température de 27°C lors de leur traitement sera valorisée en énergie électrique par combustion dans un moteur spécifique
    - les boues iront de l’usine de dépollution à l’usine d’incinération grâce à une action de pompage de silo à silo
    - il sera également possible de déshydrater une partie des boues pour les envoyer dans des filières de compostage plutôt qu’à l’incinération
     
    De meilleures conditions de dépotage et de traitement des sous-produits

    Pour améliorer le dépotage de matières extérieures et le traitement des sous-produits de l’usine, un nouveau bâtiment sera construit à partir de 2011, en adéquation avec le schéma départemental prévu par le Conseil général de la Savoie. Ce hall sera fermé pour réduire les nuisances olfactives et sonores et adapté à chaque type de déchets apportés : boues, composés graisseux, matières de vidange, produits de curage. De plus, le conditionnement des graisses et le traitement des produits de curage pourront être faits sur place. L’usine reçoit environ 80 % des matières de vidange de la Savoie, 50% des graisses (issues de la restauration, bacs à graisse…), les boues issues de petites stations d’épuration, mais également les produits de curage et sables issus des réseaux.

    Future usine

    Future usine - © Babylone Avenue pour Chambéry Métropole

    Développement durable : un projet exemplaire
    La nouvelle usine sera pionnière en France du point de vue de la valorisation de l’énergie et des sous-produits issus du processus d’épuration. Plus de la moitié des besoins en énergie du site, seront produits en interne grâce à la combinaison de plusieurs énergies.
     
    Le bâtiment de biofiltration
    - il accueillera sur son toit, 700 m² de panneaux photovoltaïques,
    - dépolluera les eaux usées avec la pouzzolane, roche volcanique à l’état naturel
     
    Le traitement de l’eau
    - en s’écoulant dans les conduites, l’eau épurée produira de l’énergie grâce à un principe de turbinage
    - une partie de l’eau traitée sera destinée à un usage interne et industriel (usine d’incinération et usine de dépollution, eau impropre à la boisson) après un traitement spécifique de type ultrafiltration et désinfection UV (procédé membranaire Aqua-RM de Stereau)
    - elle servira aussi au chauffage et à la climatisation des bâtiments grâce à la récupération des calories dégagées par l’eau épurée.
     
    Les eaux usées sont désormais réparties dans 7 biofiltres composés principalement de
    Les eaux usées sont désormais réparties dans 7 biofiltres composés
    principalement de "billes" de pouzzolane sur plus de 3 mètres de haut
    © Chambéry Métropole
     
    Le traitement des boues
    - les boues iront de l’usine de dépollution à l’usine d’incinération grâce à une action de pompage de silo à silo
    - la méthanisation (biogaz) dégagée par le maintien des boues à une température de 27°C lors de leur traitement sera valorisée en énergie électrique par combustion dans un moteur spécifique
     
    Valorisation des sous-produits
    - le sable issu de l’usine et des réseaux sera dépollué dans le but de le rendre réutilisable sur des chantiers
    - les graisses seront conditionnées pour en faire du combustible qui pourra être revendu (dans des filières d’équarissage par exemple)
    - la déshydratation d’une partie des boues pour des filières de compostage
     
    Un équipement intégré dans son environnement et ouvert sur l’extérieur
    Ce projet de modernisation prévoit une requalification globale du site actuel, différents dispositifs pour limiter les nuisances olfactives, ainsi qu’un parcours pédagogique complet pour expliquer les enjeux de l’assainissement à des publics variés, dont les scolaires.
    L’intégration du site dans son environnement et la réduction des nuisances olfactives et sonores
    - un projet architectural de qualité, avec aménagement d’un circuit de visite et de cheminements piétons, des aménagements paysagers, la création d’un nouveau bâtiment d’entrée avec salle pédagogique et accueil.
    - une reconfiguration de l’espace plus fonctionnelle :
    aménagement de l’entrée du site pour mieux séparer les flux de circulation des véhicules, notamment des camions à l'usine d’incinération et à l'usine d’épuration
    réorganisation d’un accueil et de locaux d'exploitation pour le suivi technique du fonctionnement de l'installation, d’une cour technique et de nouveaux locaux de laboratoire
    une nouvelle plateforme de dépotage adaptée aux différents types de matières apportées qui accueillera les camions dans un hall fermé et désodorisé.
    - la limitation des nuisances olfactives : des dispositifs de désodorisation (physicochimiques et/ou biologiques) sont mis en place à toutes les étapes du traitement des eaux usées, par ailleurs l’ensemble des équipements sera désormais couvert (plus de bassins à l’air libre comme avant), ce qui permettra de réduire les nuisances olfactives et sonores.
     
    La construction d’un parcours pédagogique complet
    - Un circuit de découverte pédagogique de l’usine sera installé avec notamment des passerelles sécurisées offrant une vision sur les étapes de l'assainissement. Il sera complété par un espace pédagogique (salle équipée avec des éléments d’exposition et du matériel video).
    - Par ailleurs, un espace accessible depuis la piste cyclable (avenue verte) sera aménagé avec une vue sur le site : installation d’une fontaine à eau, mobilier urbain et table d’orientation.

    - La réalisation de ce volet pédagogique bénéficie d’une subvention de l’Agence de l’eau de 50%.


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